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guy janvier conseiller général ps - Page 2

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    CONSEIL GENERAL ET PS : JANVIER ELIMINE

    Révolution de palais au sein du groupe PS du Conseil Général. Martine Gourriet, conseillére général de Chatillon et présidente du groupe PS vient d’informer ses collégues qu’elle ne souhaitait plus le présider pour des raisons professionnelles. Les 7 conseillers généraux PS, plus un apparenté avec Vincent Gazeilles (EELV) conseiller général de Clamart, doivent désigner d’ici la prochaine séance plénière du Conseil Général, le 27 Juin 2014, l’un d’entre eux. La logique était d’élire Guy Janvier, conseiller général de Vanves depuis 2004, l’un des plus anciens avec Pascal Buchet (PS), mais celui-ci l’a déjà été et vient de perdre la mairie de Fontenay aux Roses, ou Gilles Catoire seul et unique maire (de Clichy) des Hauts de Seine depuis Mars dernier. Mais voilà, beaucoup sont réticent car ils le trouvent très agressif vis-à-vis de Patrick Devedjian et de la majorité départementale, dans ses interventions et réactions.

    PARTIS POLITIQUES : UNE ANNEE SABATIQUE ?

    Les effectifs militants des sections des principaux partis politiques de Vanves vont-ils se réduire. Tant le PS que l’UMP sont touchés. Au PS, de vieux militants et des figures socialistes  sont décidés à ne pas renouveler leur adhésion, décidés pour certains à prendre une année sabatique. Ils n’ont pas apprécié, en vrac, les couacs et les reculades du gouvernement, le changement de Premier Ministre avec le choix de Manuel Valls qui n’est pas leur tasse de thé… et au niveau local cette nouvelle défaite aux élections municipales. Plusieurs d’entre eux ont fait part de leur étonnement et de leur désaccord face à la démission d’Antonio Dos Santos du Conseil Municipal, même si c’était pour laisser sa place à un jeune (prometteur). A l’UMP, ce n’est guére mieux avec l’affaire Bygmalion, des frais exorbitants de campagne de Nicolas Sarkozy, la démission de JF Copé, son remplacement par un triumvirat… notamment parmi ceux qui ont donné au « Sarkothon »…à tel point que certains commencent à se tourner vers le FN, dégoutés par cette atmosphère de guerre des chefs, et d’autres prennent leur distance. Il n’y a que les jeunes pour y croire encore…Et encore que !  

    EXPOSITION UNIVERVELLE : VANVES EN PREMIERE LIGNE

    Jean Christophe Fromantin, député maire UDI de Neuilly et Président d’ExpoFrance2025 est venu présenter devant les maires franciliens réunis cette semaine au parc floral de Paris lors des assises de l’AMIF, son projet de candidature à l’exposition universelle de 2025 qui connait une accélération formidable depuis ce printemps. « Le projet fait son chemin, soutenus par 20 grandes entreprises, 10 universités et grandes écoles dont les étudiants planchent poitr configurer ses thèmes, les parlementaires qui ont constitué une commission à l’Assemblée Nationale… Des maires nous soutiennent comme Bernard Gauducheau maire de Vanves qui a fait voter un vœu par son conseil municipal » a-t-il déclaré lors des discours inauguraux devant une pléiade de personnalités, en faisant remarquer que c’était la première ville en France à le faire. « Une dynamique se met en place ! » s’est il réjouit. Ainsi que le maire de Vanves, revigoré par cet hommage à ce soutien, et fier que Vanves apparaisse au premier plan dans le soutien à un grand projet qui devrait rassembler les Français

    PAIEMENT EN LIGNE POUR LES LOCATAIRES VANVEENS DE L’OFFICE

    Les 687 locataires vanvéens de Hauts de Seine Habitat, l’office départemental d’HLM, peuvent désormais payer, en ligne, leur loyer. C’est l’une des conséquences de la nouvelle convention signée entre cet OPDHLM et la direction départementale des Finances Publiques des Hauts de Seine (ex-TPG92) lors des assises de l’AMIF, avec la dématérialisation des actes de cet office, et la mise en place du paiement en ligne sécurisé pour les locataires. Ce site internet qui est « un outil de proximité numérique pour l’OPH 92  tourné vers les locataires  devrait s’enrichir de nouvelles rubriques et espaces  : Devenir locataire ; Etre locataire ; Vos résidences ; marchés publics, contacts avec les agences… 

    SEATING DEVANT L’ECOLE DU PARC

    Opération réussie pour l’API et la FCPE qui ont réuni, jeudi matin à 8H30 lors de la rentrée des classes,  plus de 110 parents d’écoliers pour protester contre la suppression d’une classe à l’école du Parc. Le Parisien dans son édition du 6 Juin y a consacré un article avec une photo. Les conseilléres pédagogiques de la circonscription académique de Vanves-Malakof étaient présentes à ce seating qui a duré plus d’une heure…Mais toujours aucune réponse des autorités académiques. 

    SENSIBILISATION SUR LE DIABETE A VANVES

    A l’occasion de la semaine nationale de lutte contre le diabète, l’antenne de Vanves de la Jeune Chambre Economique de Grand Paris Seine Ouest (JCE GPSO) méne,  ce matin, une opération d’information sur le Plateau de Vanves entre 10H et 13H. « Maladie longue et évolutive, les complications du diabète se révèlent souvent tardivement avec des impacts graves sur la vie quotidienne. En forte progression en France, il touchait plus de 4 millions de personnes en 2011 (contre 1,6 millions en 2000). On estime que 700 000 personnes ignorent qu’elles sont diabétiques » expliquent les organisateurs en ajoutant : « L’impact économique est également important : traiter les complications du diabète est beaucoup plus coûteux (+ de 17 milliards d’euros par an soit 10% des dépenses de la Sécurité Sociale) que traiter le diabète en lui-même (600 millions par an) ». La Jeune Chambre Economique, grâce à son antenne vanvéenne,  se mobilise aux côtés de l’Association Française des Diabétiques afin d’œuvrer pour l’intérêt général et apporte sa pierre à l’effort entrepris pour déclarer le diabète « grande cause nationale » à l’horizon 2015.

  • LES INITIATIVES SE MULTIPLIENT A VANVES EN MATIERE DE SOLIDARITE DE VOISINAGE : APRES LES VEILLEURS DE PROXIMITE, LE SEL

    En ce mois de Mai, où l’on célébre les voisins (23 Mai 2014), les initiatives se multiplient de milieux très divers à Vanves. Après les veilleurs de proximité lancés par les paroisses de Vanves, Voisins Solidaires qui a l’antériorité, pour justement éviter de s’intéresser à ses voisins, un seul jour dans l’année, un projet de SEL (Systéme d’Echange local) vient d’être lancé  par Guy Janvier, conseiller Général (PS) de Vanves : « Pour moi, c’est tout sauf de la charité ! C’est entreprendre autrement. On voit que les réponses économiques, sociales, intellectuelles aux problèmes que l’on connait actuellement  ne sont pas opérantes. Donc il faut trouver d’autres moyens de répondre ». D’où cette idée relativement ancienne, qui faisait parti de son projet lorsqu’il était maire de Vanves, à savoir créer de la solidarité. « C’est la raison pour laquelle j’avais créé l’espace solidarité sur le Plateau avec une idée simple : Que des gens qui n’ont pas besoin d’être aidé peuvent aider ceux qui en ont besoin. Un SEL avant la lettre, que nous avions mis en place grâce à une femme maghrébine qui voulait donner un  coup de main, et créer des liens de solidarité »

    Le Sel est un système ou un service d’échange local, c’est à dire un groupe de personnes qui pratiquent l’échange multilatéral de biens, de services et de savoirs.  « Chacun donne du temps réciproquement qui est l’unité de compte et remplace la monnaie. Derrière cet échange, il y a surtout l’idée de créer du lien social, de la convivialité,  sans que ce soit, derrière, monétarisé,  et pas uniquement lors de la journée des voisins ou de la journée de l’handicap. Aider les gens de manière à ce qu’ils puissent vivre mieux dans notre société. Cette initiative part du principe que chacun a des compétences, même si elles ne sont pas exploitées. Comme on ne peut pas s’occuper de tout le monde, et en particulier de ceux qui ont d’énormes difficultés, on peut créer ce lien, avec des volontaires qui échangent pour être ensemble et se rendre des services à proximité de chez lui. Cela va au delà du troc puisqu’on crée du lien social car on sait que l’on peut s’appuyer sur des gens sans pour autant devoir les payer, mais en retour on a une écoute, une attente » explique Guy Janvier qui ajoute : « C’est que Martine Aubry appelle le « care ». Prendre soin des autres, faire attention à ».  

    Pas question pour le conseiller général d’en faire une affaire politique, ni de récupérer cette initiative afin qu’elle dépasse le cadre de gauche que ne manqueront pas de relever ses opposants. Il souhaite que cette idée soit reprise par des associations comme l’AMAP par exemple. Ce SEL peut être créer sous la forme d’une association avec une adhésion minimale pour l’année autour de 5 €, et fonctionner avec ce système d’échange qui est le plus souvent comptés en référence au temps passé (par exemple : 1 minute = une fleur ou un grain de sel ou un café) en s’affranchissant de la parité avec les monnaies en cours. Certains utilisent des feuilles d’échanges (ou de richesses) sur lesquelles les participants notent avec qui ils ont échangé et combien d’unités doivent être crédités ou débités. A Clamart, la référence est le « petit pois » par rapport à la célèbre fête. A Vanves ce pourrait être le petit pain en référence aux blanchisseurs qui ont marqué Vanves et qui célébraient la Saint Sylvestre par de petits pains qu’ils distribuaient autour d’eux. Un  coupon à 3 volets est généralement utilisé (un pour chacun des participant, celui qui rend une heure, celui qui la reçoit et un pour le compteur qui comptabilise tout cela). Et une bourse d’échange locale est organisé régulièrement auquel participent les adhérents en créant finalement un rendez-vous convivial régulier.

    « Quelque soit le système choisi, l’écrasante majorité s’accorde à penser que le nombre d’unités n’est que la mémoire de l’échange ,pas sa valeur, et que le lien est bien plus important que le lien » indique t-il en donnant quelques exemples, car de  nombreux SEL fonctionnent déjà,  notamment à Clamart avec une centaine de personnes, à Châtillon où il vient de démarrer, à Malakoff depuis un certain temps, mais il serait arrêté. « Un SEL repose bien évidemment sur des animateurs qui le portent, c’est pourquoi ils sont tous différents, chacun SEL pouvant faire ce qu’il veut, certains mettant l’accent sur l’économique,  d’autres sur l’acte de résistant contre le système capitaliste, et beaucoup sur l’aspect relationnel en créant du lien ». Et c’est cela qui est visé avec cette idée de créer un SEL à Vanves.  Tout le sel de cette proposition est de voir le chemin qu’elle va emprunter pour voir le jour.  

  • ELECTIONS MUNICIPALES A VANVES : GUY JANVIER CONSEILLER GENERAL PS : « Nous sommes dans la configuration de 1995 »

    Même s’il a pris sa revanche aux cantonales de 2004 et 2011, cette élection municipale, après sa défaite de 2001 puis de 2008 a un goût particulier pour Guy Janvier. 13 ans aprés, il souhaite qu’une victoire jette un pont entre son mandat (1995-2001) et celui qu’Antonio Dos Santos entamera (2014-20). C’est la raison pour laquelle, il se consacre pleinement à cette campagne, et a tenu à être sur la liste à la 13éme place. Il s’en explique sur le blog Vanves au Quoditien

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi vous êtes vous représenté sur la liste PS alors que vous avez démissionné du Conseil Municipal ?

    Guy Janvier : « J’ai démissionné du conseil municipal avec l’idée que si on voulait regagner la mairie, il fallait renouveler notre équipe – Anne Laure Mondon, Jean Cyril Le Goff, moi-même depuis 1989. Quand j’ai été réélu Conseiller Général, j’avais dit que, dans la perspective des élections municipales, on ouvre les représentants de l’opposition au conseil municipal à des personnalités nouvelles, et notamment à Valérie Mathey qui avait été ma suppléante au moment des cantonales et avec qui j’avais gagné.  Il fallait absolument, pour regagner cette ville, que cela ne repose pas uniquement sur Guy Janvier qui est connu, et sur les deux élus municipaux. Il faut ajouter l’idée du non cumul de mandat, repartant pour un mandat de conseiller général, je ne me sentais pas complétement utile au conseil municipal.

    Je suis de nouveau sur la liste à une position où je ne serais pas élu si on perd, hypothèse que je n’envisage pas, et où je serais élu si nous gagnons. En fonction de ce qu’Antonio Dos Santos souhaitera, je serais à la disposition du futur maire et de l’équipe municipale. Le fait d’être en position éligible à la place 13, petit clin d’œil à la chance, et d’être sur la liste, est une bonne chose 

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne ?

    G.J. : « C’est peut être ma diziéme campagne, entre les campagnes locales et nationales. J’ai un très mauvais souvenir de la campagne de 2008.  Donc, je vis très bien cette campagne 2014, parce qu’elle est bien organisé, cohérente, avec un directeur de campagne, Jean Cyril Le Goff, un candidat, Antonio Dos Santos qui est légitime. C’est une des raisons pour lesquelles, je crois en notre victoire. Car il y a une cohérence, une progression dans la campagne. Tout cela est de bon augure. Parce qu’aujourd’hui, on ne peut plus se permettre, dans les élections politiques, même locales, d’être des amateurs. La campagne a un caractére « professionnel » qui est bonne. Où je me trouve à l’aise

    VAQ - En quoi est elle différente de celle de 2008 ?

    G.J. : « En 2008, nous avions un problème de direction de campagne, puisqu’elle a fait défaut en plein milieu de campagne. Nous avons failli sur le document de campagne, puisque lorsque Robert Badinter est venu faire la première réunion publique, il n’était pas prêt. Nous n’en avions que 60 exemplaires, à trois semaines de l’élection. J’avais conçu un programme sur le développement durale, avec ses trois piliers, économique, environnemental et social. Il n’était pas mauvais. Et d’ailleurs, j’ai crû comprendre qu’un certain nombre de candidats aux prochaines élections, y avaient pioché un certain nombre de choses. Il était déjà vert avant que l’on puisse dire qu’il l’était. Mais nous avons surtout pêché sur l’organisation de la campagne. C’est pourquoi aujourd’hui, notre campagne me parait bien partie parce que l’organisation est bonne, et c’est fondamental en politique. Et je porte ce programme pour 2014-20 car il y a un certain nombre de choses qui me paraissent indispensables, la démocratie participative qui a été un de mes axes forts lorsque j’étais maire, la politique de la  jeunesse  et la cohésion sociale.

    VAQ - Quels sont les enjeux de cette élection municipale 2014 ?

    G.J. : « J’espère que nous allons pouvoir reprendre la mairie le 30 Mars 2014. Je suis moins optimiste qu’Antonio Dos Santos car je ne pense pas que cela se fera le 23 Mars au soir. Je suis assez confiant parce que nous sommes dans la configuration de 1995, avec une seule liste à droite, et 3 listes à gauche. En 1995, il avait manqué 17 voix à la liste de Didier Morin pour passer dés le premier tour. Et malgré cela, on a gagné de 2 voix. Pourtant, ce n’était pas évident avec les deux listes concurrente de MM Deniau et Poly. Je suis plus confiant aujourd’hui parce que Bernard Gauducheau et Isabelle Debré ne vont pas passer au 1er tour.  Je n’y crois pas une seule seconde parce qu’à Vanves, le PS est majoritaire déjà depuis quelques élections. J’ai battu Bernard Gauducheau en 2004 et 2011. François Hollande a fait 56% aux élections présidentielles. Le PS a fait 53% aux élections législatives. Tout cela fait que si Bernard Gauducheau ne passe pas au premier tou comme je le pense, nous aurons une réserve de voix importante que lui n’aura pas. Contrairement à 2008, nous avons à côté de nous, deux listes politiques, les Verts et le Front de Gauche. J’espére que l’écart entre l’UMP/UDI et le PS soit autour de 10 points. Comme nous avons fait alliance avec les démocrates, il est possible que l’écart soit un peu plus réduit. Quand on regarde le résultat des dernières élections, on s’aperçoit qu’à Vanves, on est à 52/53% à gauche, la droite à 46/47%. Il perd normalement une partie des démocrates qui nous ont rejoint. Ainsi, il n’est pas impossible que l’écart se réduise à 7 ou 8 points. Et dans ce cas là, c’est gagné. En tous les cas, ce sera serré. Et il n’y a pas de raison que cela ne se joue pas à 50 ou 100 voix, et que l’on gagne avec un faible écart. Mais on peut aussi gagner avec un score plus fort.

    VAQ - Comment avez-vous vu évoluer cette ville depuis 13 ans ?

    G.J. : « Je ne dirais pas en bien, parce que ce qui a manqué  à Bernard Gauducheau, nous l’apportons dans notre programme. Je pense en particulier à la rénovation du Plateau. J’y habite depuis 30 ans. Qu’est-ce qui a été fait depuis 13 ans ? Strictement rien.  Il a fait des choses dans le bas de Vanves que l’on peut d’ailleurs contester. En matière de jeunesse, sa politique a été une vraie catastrophe et les conséquences sont qu’un certain nombre de jeunes sont devenus des décrocheurs scolaires puis des délinquants. En matière de participation, c’est du « flanc ». Quand on voit les conseils de quartier que nous avions mis en place, avec une fête de quartiers rassemblant 150 à 200 personnes à chaque fois, et qu’aujourd’hui, une fête qui réunit l’ensemble des quartiers n’en réunit de 100 à 150, il y a quelque chose qui ne va pas. Il y a un décalage complet entre les discours sur la citoyenneté, la cohésion sociale. Il est d’ailleurs étonnant que, dans son programme, il insiste dés le départ sur Vanves Solidaire. C’est qu’il y a un manque quelque part. Ce qui ne veut pas dire que des choses n’ont pas été fait comme Cabourg. Mais c’est comme cela parce qu’une association d’habitants s’est opposé au projet de Bernard Gauducheau qui était de construire une tour de 12 ou 15 étages et de mettre l’école en rez de chaussée. Il y a eu une différence entre ce que j’aurais fait si j’avais continué à diriger cette municipalité et ce que Antonio Dos Santos fera s’il est maire le 30 Mars.

    VAQ - Quelles sont les 2 à 3 propositions du projet auquels vous tenez le plus

    G.J. : « Ce n’est pas un programme « clef en main » mais un programme que nous allons faire avec les vanvéens, en les associant, notamment sur le Plateau qui a besoin considérablement d’être rénové. Mais ce n’est pas uniquement une rénovation en dur, mais c’est aussi du lien social, avec tous ces jeunes qui traînent et ne savent plus très bien où ils en  sont. En matière de circulation douce, il faut poursuivre ce que le maire actuel a fait avec le mail Sadi Carnot. En matière d’urbanisme, il y a l’aménagement des terrains A.Briand et des alentours de la gare sur lesquels il va falloir se pencher et revoir  cela de très prés en fonction de l’état d’avancement du dossier.

    VAQ - Le Parisien a parlé d’un résultat incertain ? Qu’est-ce qui pourrait faire pencher Vanves à Gauche ?  

    G.J. : « Vanves est à gauche depuis un certain nombre d’élections. Cela n’aurait rien de surprenant que Vanves redevienne à gauche comme il l’a été pendant quelque temps. Tout cela est de plutôt de bonne augure

    VAQ - Si Antonio Dos Santos se retrouve dans le fauteuil de Maire, est-ce que ce sera quelque part une sorte de revanche ? 

    G.J. : Ce ne sera pas une revanche, Je l’ai prise au moment des cantonales. J’ai battu Bernard Gauducheau deux fois. Pour moi, ce sera un bon pont entre mon mandat et celui d’Antonio Dos Santos, 13 ans après.